J'ai l'habitude de lire vos post et interventions sur la toile. Je trouve pour celui ci que, et cela n'engage que ma personne, Senghor a eu raison de beaucoup d'entre nous. En effet "l'émotion est nègre, comme la raison est hellène". Mr Gbagbo est certes une personne publique et une autorité morale de ce pays mais il n'en demeure pas moins qu'il est un homme avant tout. Nous ne gagnerons rien à vouloir nous immiscer dans sa vie privé. Je pense qu'on doit lui accorder le bénéfice du doute avec tout ce qu'il a vécu. Merci
Je pense que ce le Président Gbagbo fini toujours par surprendre le monde entier et même des énemis.
Son retour inespéré au pays en est l'illustration la plus parfaite.
Pour éviter de se repentir d'un diagnostic erroné au sujet des actes posés par lui il conviendrais de les commenter avec une certaine retenu et ouverture.
Observons tous calmement la suite des événements.Nul mieux que lui ne sait comment l'ordre de priorité de ses actions.
De catastrophe, je n'en vois point, hormis l'orientation bien ciblée que l'auteur de cet éditorial, dont la probité intellectuelle n'est plus à démontrer (souffrez donc, chers tous, de ce crime de lèse majesté que je m'apprête en toute conscience à commettre car en valant largement la chandelle), a bien voulu démontrer de la plume. En effet, je relèverai 3 éléments qui à mon sens désarticulent cet "bel" écrit et le rendent, sinon partisan, du moins contre-partisan (nuance). Ce sont:
1. L'annonce du chapeau faisant état de ce que "Cet édito hebdomadaire est destiné aux abonnés payants de cette newsletter. Mais à titre exceptionnel, ce texte est rendu public.". N'eût-il pas mieux valu, si le dessein n'est pas étrange et trouble, ne pas le déclasser et le réserver aux seuls abonnés comme pour tous les autres? Pourquoi maintenant? Pourquoi cet article-ci? A moins que l'objectif visé soit ailleurs (partisan ou contre-partisan, allez savoir?)
2.La première partie de l'article ("double discours") est, on ne peut plus clair: Ouattara dit une chose et fait son contraire, avec un rameau d'olivier en main, il prône la paix et la réconciliation mais pose concomitamment des actes qui traduisent sa vraie nature. Les exemples pullulent tant dans cet article pour illustrer mes propos que j'en viens à me demander comment son auteur n'a pas pu voir et retenir que ces problèmes qui se dessinent en perspectives, ne "sont franchement pas de bon augure" (je le cite) et devraient constituer l'unique souci du moment?
Vient alors ma 3è et dernière observation:
3. Pourquoi choisir de s'arrêter sur des broutilles au point d'inventer un néologisme ("extimité") qui n'en vaut vraiment pas la peine. Y aurait-il un agenda caché? Pour qui connait Laurent Gbagbo (qui peut même s'en targuer?), l'essentiel est ailleurs.
Je conclurai mon long plaidoyer par cette observation :
"Laurent Gbagbo, comme toujours, a une longueur d'avance sur ses contemporains que nous sommes. Encore une fois, nous ne comprenons pas, dans l'immédiat, ce qu'il pose comme acte. Quand nous l'aurons compris, il sera, comme toujours, un peu tard. Espérons seulement qu'il ne soit pas trop tard.
Cordialement,
Kounta Kinte Lébène,
le fils d'Omoro et de Binta Kinté de la tribu des Djallobé dans le Fouta Djallon
Je suis étonnée du peu de foi des «partisans» de LG …. L’homme noir est trop dans l’émotion…Que les uns et les autres retiennent juste qu’il divorce juste de la femme , pas du partenaire politique !! Un homme tel que lui ne peut pas sortir de 10 ans de souffrance et acharnement en tout genre et demeurer le même !! Bref . Faisons confiance à notre chef .
On oublie volontier dans une telle lecture que les évangéliste l'avaient excommunier au lendemain de son arrestation. leur déclaration est encore disponible sur YouTube alors moi je ne vois pas à quel moment le président Gbagbo valide le narratif franco onusien. Et pourquoi devait il attendre d'avoir réunifié le FPI avant de divorcer si tel son désir , ne pensez vous pas que cela aurait forcément entraîné un quiproquo dommageable pour l'unité même du parti qui aurait été alors réunifié sur un monumental malentendu ? je crois au contraire que les défis qui l'attendent et que vous identifiez si bien commandaient qu'il mette de l'ordre d'abord dans sa vie, à moins que vous n'ayez décidé que la lutte qui ont à mener commande qu"ils restent en couple ou qu'ils périssent...
Prétendue panafricaniste. Qui a fait appel à la France de Chirac aux premières heures de la crise? Et comme il n'y a pas eu d'entente il est devenu panafricaniste. Mon œil panafricaniste de circonstance.
Le président Gbagbo a encore de plus déçu les ivoiriens, tous ces morts pour sa cause et jusqu’à présent aucun discours en la mémoire des disparus et son intérêt personnel c’est le divorce. Nous le combattrons farouchement s’il le faut pour l’injustice qu’il fait subit à cette dame, et aller plus loin lui arracher de force le fpi.
J'ai l'habitude de lire vos post et interventions sur la toile. Je trouve pour celui ci que, et cela n'engage que ma personne, Senghor a eu raison de beaucoup d'entre nous. En effet "l'émotion est nègre, comme la raison est hellène". Mr Gbagbo est certes une personne publique et une autorité morale de ce pays mais il n'en demeure pas moins qu'il est un homme avant tout. Nous ne gagnerons rien à vouloir nous immiscer dans sa vie privé. Je pense qu'on doit lui accorder le bénéfice du doute avec tout ce qu'il a vécu. Merci
Je pense que ce le Président Gbagbo fini toujours par surprendre le monde entier et même des énemis.
Son retour inespéré au pays en est l'illustration la plus parfaite.
Pour éviter de se repentir d'un diagnostic erroné au sujet des actes posés par lui il conviendrais de les commenter avec une certaine retenu et ouverture.
Observons tous calmement la suite des événements.Nul mieux que lui ne sait comment l'ordre de priorité de ses actions.
Qui vivra verra.
Merci
Vous êtes trop pressés, je pense. Attendez! Et vous verrez bien!
De catastrophe, je n'en vois point, hormis l'orientation bien ciblée que l'auteur de cet éditorial, dont la probité intellectuelle n'est plus à démontrer (souffrez donc, chers tous, de ce crime de lèse majesté que je m'apprête en toute conscience à commettre car en valant largement la chandelle), a bien voulu démontrer de la plume. En effet, je relèverai 3 éléments qui à mon sens désarticulent cet "bel" écrit et le rendent, sinon partisan, du moins contre-partisan (nuance). Ce sont:
1. L'annonce du chapeau faisant état de ce que "Cet édito hebdomadaire est destiné aux abonnés payants de cette newsletter. Mais à titre exceptionnel, ce texte est rendu public.". N'eût-il pas mieux valu, si le dessein n'est pas étrange et trouble, ne pas le déclasser et le réserver aux seuls abonnés comme pour tous les autres? Pourquoi maintenant? Pourquoi cet article-ci? A moins que l'objectif visé soit ailleurs (partisan ou contre-partisan, allez savoir?)
2.La première partie de l'article ("double discours") est, on ne peut plus clair: Ouattara dit une chose et fait son contraire, avec un rameau d'olivier en main, il prône la paix et la réconciliation mais pose concomitamment des actes qui traduisent sa vraie nature. Les exemples pullulent tant dans cet article pour illustrer mes propos que j'en viens à me demander comment son auteur n'a pas pu voir et retenir que ces problèmes qui se dessinent en perspectives, ne "sont franchement pas de bon augure" (je le cite) et devraient constituer l'unique souci du moment?
Vient alors ma 3è et dernière observation:
3. Pourquoi choisir de s'arrêter sur des broutilles au point d'inventer un néologisme ("extimité") qui n'en vaut vraiment pas la peine. Y aurait-il un agenda caché? Pour qui connait Laurent Gbagbo (qui peut même s'en targuer?), l'essentiel est ailleurs.
Je conclurai mon long plaidoyer par cette observation :
"Laurent Gbagbo, comme toujours, a une longueur d'avance sur ses contemporains que nous sommes. Encore une fois, nous ne comprenons pas, dans l'immédiat, ce qu'il pose comme acte. Quand nous l'aurons compris, il sera, comme toujours, un peu tard. Espérons seulement qu'il ne soit pas trop tard.
Cordialement,
Kounta Kinte Lébène,
le fils d'Omoro et de Binta Kinté de la tribu des Djallobé dans le Fouta Djallon
Je suis étonnée du peu de foi des «partisans» de LG …. L’homme noir est trop dans l’émotion…Que les uns et les autres retiennent juste qu’il divorce juste de la femme , pas du partenaire politique !! Un homme tel que lui ne peut pas sortir de 10 ans de souffrance et acharnement en tout genre et demeurer le même !! Bref . Faisons confiance à notre chef .
On oublie volontier dans une telle lecture que les évangéliste l'avaient excommunier au lendemain de son arrestation. leur déclaration est encore disponible sur YouTube alors moi je ne vois pas à quel moment le président Gbagbo valide le narratif franco onusien. Et pourquoi devait il attendre d'avoir réunifié le FPI avant de divorcer si tel son désir , ne pensez vous pas que cela aurait forcément entraîné un quiproquo dommageable pour l'unité même du parti qui aurait été alors réunifié sur un monumental malentendu ? je crois au contraire que les défis qui l'attendent et que vous identifiez si bien commandaient qu'il mette de l'ordre d'abord dans sa vie, à moins que vous n'ayez décidé que la lutte qui ont à mener commande qu"ils restent en couple ou qu'ils périssent...
Prétendue panafricaniste. Qui a fait appel à la France de Chirac aux premières heures de la crise? Et comme il n'y a pas eu d'entente il est devenu panafricaniste. Mon œil panafricaniste de circonstance.
Le président Gbagbo a encore de plus déçu les ivoiriens, tous ces morts pour sa cause et jusqu’à présent aucun discours en la mémoire des disparus et son intérêt personnel c’est le divorce. Nous le combattrons farouchement s’il le faut pour l’injustice qu’il fait subit à cette dame, et aller plus loin lui arracher de force le fpi.
Terriblement catastrophique